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La vie, ma vie

9 décembre 2006

probleme d'écriture

je viens de finir le texte précédent et deja j'enchaine sur celui ci.
car sa fin a soulevé en moi un probleme que j'ai, depuis longtemps, remarqué. Des que je me décide-enfin- a écrire, je ressens comme un ras le bol. une confusion cérébrale, un ras le bol de moi, de ne pouvoir m'exprimer.
meme ce que je ressens je ne le sais pas...
comment est ce possible de ne tant ne rien savoir.

une seule idée ma hante : stooopppp (s'il vous plait..........................)
s'il vous plait, arrétez le massacre.  en moi deja ne résident que des ruines. des ruines de bonheurs, des vestiges de bon moments. j'ai en moi les meilleurs ingrédients pour préparer le meilleur des plats, tout pour etre heureux: une vie homardesque dans une famille caviardesque. mais je ne sais pas cuisiner.
quel dommage. d'autres sont de fins cordons bleus mais ne possedent aucun ingrédient.   Y A T IL QUELQUE JUSTICE A CELA ? mais qui a dit que la vie était juste?

envie de rien. meme pas d'écrire.

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9 décembre 2006

anesthésié

voila 1 mois que je suis rentré de thailande, presque jour pour jour, et voila un mois que je n'ai pas fait une seuls seconde de sport. mon retour de thailande coincide, peut etre pas si anodinement, avec le jour ou j'ai emmené johanna a l'hopital.  et depuis : rien . Non non pas rien, pas le vide, pas la mort ! C'est fini tout ca. il m'a bien fallu intégrer qu'il faut vivre. alors je vis. mais comment ? que fais-je de ma vie? rien. qu'est ce que je désire? rien.  j'en reviens au titre de ce post. je me sens anesthésié. littéralement anesthésié de l'intérieur. non non, pas mort, anesthésié. la vie avance, il me faut vivre. mais j'ai comme des relans de "je nsais quoi", comme une rage qui monte, comme une douleur qui me martyrise, comme un poids qui me fatigue. "Ne surtout pas laisser ces sentiments remonter a la surface et prendre le dessus sur moi meme". Mais cela est fatigant. combattre une force inconnue, combattre un fardeau deja bien encré...voila qui demande de l'énergie. je ne veux plus me battre (peut etre ne puis-je plus. me reste-t-il encore des forces?), mais je ne peux mourir...alors que faire ? s'anesthésier et devenir spectateur de sa vie, regarder sa vie passer comme un film. Mes principes ? oustes! il sont partis. Mon eternelle absence de volonté était quelque peu atténuée par mes principes, mes convictions. mais il n'en est plus rien. eux aussi demandent de la force.
alors fuir le monde...non, pas le monde, soi-meme. se fuir, quel lugubre facilité. l'alcool, le shit, tant de vices créés par et contre l'homme. mais ils aident. a quoi ? a se fuir. je ne veux plus réfléchir, plus me demander ce qui est bon ou pas pour moi, mais me dire que ce que je ferai sera bon pour moi. mais je sais que non. je ne sais pas. je veux...je ne sais pas, pour changer.  changer mon état d'esprit? changer ma vie?
est-ce moi ou est-ce le monde ? suis-je le seul etre Humain dans ce monde de fous, de robots ? ou ne suis-je peut etre qu'un fou parmi d'autres...
ce premier réel texte reflette bien ce blog : incohérent, décousu, indigeste. mégalo.

9 décembre 2006

voici donc le premier message de ce blog. blog,

voici donc le premier message de ce blog. blog, blog...quel mot ridicule a mon oreille. Se montrer, s'exhiber, a tous, a n'importe qui... a quoi bon ? Mais non, celui ci ne sera que pour moi. je m'exhiberai, cetres, mais a moi-meme. Encore et toujours suivre l'exemple de mon grand frere, mais a ma facon.
Alors j'essaye. je n'ai rien a perdre apres tout. (un peu de temps, certes, mais pour ce que j'en fais ou ferais de toute facon...)
mais ce ne sera pas un carnet de bord comme celui de marc par exemple, pas un souvenir pour plus tard de ce que je fis de ma jeunesse. mais un journal d'intérieur, un souvenir pour plus tard de ce que je fus dans ma jeunesse...

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La vie, ma vie
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